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En référencement ou SEO, les techniques ont leur nuance de gris. De « White hat » pour la stratégie « sans risque » jusqu’à « Black hat » pour les flibustiers du SEO sur les vagues des moteurs de recherche.

Lorsque l’on parle référencement en France, on peut essentiellement se focaliser sur Google, les autres moteurs ne proposent qu’une source de trafic faible au regard de l’effort et l’investissement en temps et en argent nécessaire. Si des moteurs récents comme Qwant peuvent avoir toute notre affection, en terme de ROI pour la majorité des sujets, on peut se restreindre à Google.

Chapeau blanc, chapeau noir.

Dans cette optique, le référenceur White hat, va prendre les recommandations de Google à la lettre pour organiser son travail. Avec cette approche on se cantonne quasi exclusivement à une optimisation de son site basée sur le contenu ( du texte, des dossiers ... ).

L’approche Black hat est plus « pragmatique », du contenu toujours, puisque depuis l’algorithme « Google Panda », il en faut, mais aussi des liens qui sont le fondement de l’algorithme de positionnement de Google. Voire beaucoup de liens, mais en 2012, Google a calmé un peu le jeu avec son algorithme « Penguin » . Les algorithmes de Google sont aussi blanc et noir ! Le SEO Black Hat prend des risques et jouent avec les lignes pour finir par se faire taper sur les doigts par Google et retrouver ses sites dans les abysses des pages de résultats.  

Chapeau Gris

Pour une enseigne avec un objectif pérenne, impossible de ne faire que du Black hat, le risque de « tuer » le site est trop grand. De même se cantonner aux techniques White est souvent trop compliqué pour espérer avoir des résultats sur des secteurs commerciaux concurrentiels.

Sans se définir ainsi, la plupart des prestations SEO font se retrouver au milieu, Grey Hat, volontairement ou par méconnaissance. 

L’efficacité du funambule des Serps ( pages de résultats des moteurs ) se trouve dans sa capacité à rendre plus blanches des techniques traditionnellement réservées aux SEO Black hat. Le cloaking fait typiquement parti des techniques Black hat qu’il est possible de largement dépoussiérer pour en faire bénéficier n’importe quel site web. 

Cloaking

Dans cette optique, le référenceur White hat, va prendre les recommandations de Google à la lettre pour organiser son travail. Avec cette approche on se cantonne quasi exclusivement à une optimisation de son site basée sur le contenu ( du texte, des dossiers ... ).

Historiquement le cloaking avait pour objectif de capter du trafic facile pour le rediriger sur des thématiques très commerciales et très concurrentielles. Le public a évolué, et ce n’est pas avec « lapin géant des flandres » , une requête relativement facile, que vous pourrez vendre un smartphone. On est désormais habitué à avoir une réponse pertinente à notre recherche, et pas à se laisser distraire facilement. L’approche est désormais plus diplomatique.

Un SEO White va vous demander de produire une page de 2500 mots sur votre page d’accueil, quand votre service marketing voudra se limiter à joindre une accroche, une photo et un bouton « call to action ».

Ce cas extrême peut être partiellement résolu avec le cloaking, en adaptant votre site à chaque visiteur pour lui apporter ce qu’il est venu chercher ( du contenu pour un crawler, une information rapide avec un bouton vers l’action suivante pour un humain ).

Entre l’internaute et la page web se trouve un nombre important de technologies (dns, serveur web, html, css, php ... ), chacune peut être détournée dans un objectif SEO « cloaking » ( CDN, compte utilisateur, remarketing ... ).

Peut être faites vous déjà du cloaking sans le savoir sur votre site, et à aucun moment vous ne vous êtes demandé si vous premier un risque pour le référencement de votre site.

Je vous propose de découvrir le 4 septembre toutes les techniques de cloaking que l’on peut mettre en œuvre pour optimiser un site.

Pour que le SEO soit optimal et que le marketing ne soit plus bridé. 

euradminDéveloppeur front-end, j'assure l'intégration UX de nos interfaces logicielles en collaboration avec notre designer graphique et l'équipe de production back-end. En tant que responsable web, je m'occupe aussi des développements back-end et front-end de sites internet.

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